Pas le fruit: la couleur. Mais d’abord la journée des femmes. Il y en a beaucoup, des journées des femmes. Normal, il y a beaucoup de catégories de femmes. La première est le 8 mars. Ensuite il y a la journée des violences faites aux femmes, celle contre les mutilations génitales féminines, celles de la langue maternelle, de la sage-femme, des infirmières, d’action pour la santé des femmes, des veuves, de la femme africaine, de la fille, de la femme rurale, de la ménopause, et j'en oublie.
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Le 10 décembre c’est la journée des femmes et de l’orange
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Viol: payer pour être trainé dans la boue
Genève est-elle un paradis pour les femmes? Si l’on compare les chiffres des agressions subies par les femmes avec les projections mondiales de l’OMS, le territoire genevois est un havre de paix. Comme toute la Suisse d’ailleurs. Examinons cela.
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Une mythologie féministe
Examinons aujourd’hui quelques aspects de la mythologie de la soumission. La maison, ancien royaume de la famille sur lequel la femme avait le pouvoir, est devenue un lieu d’abjection et d’aliénation. Alors que dans l’Histoire et dans la représentation symbolique elle est le lieu d’émergence de la famille, du couple, de la personnalité, de l’individu, du soin, et un haut lieu de civilisation, elle serait devenue une prison comme par magie. On imagine la pauvre femme nettoyant à genoux la cuisine familiale. Et l’on passe sous silence le paysan qui pataugeait dans le purin des vaches et dans la boue.
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L’ONU valide la discrimination de genre
L’UN Women, commission onusienne du statut des femmes, vient de faire signer par les membres une déclaration sur la violence faite aux femmes et aux filles. La commission recommande une politique d’éradication des violences faites aux femmes en tant que genre. Les pays signataires sont appelés à «traiter et éradiquer en priorité les violences domestiques».
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Violence domestique: la bataille perdue du décervelage (1)
La vidéo en fin de billet est un choc. Elle illustre pourquoi, à l’heure actuelle, les hommes ont perdu la bataille. La bataille médiatique est perdue. La bataille politique également. Le décervelage bat son plein. Les hommes sont mis à genoux. Absents du discours social en tant que victimes de violence. Le stéréotype est installé.
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Violence conjugale contre les hommes: la vérité sort du trou
De nombreuses féministes affirment haut et fort que la répartition de la violence conjugale est de 95% de femmes victimes pour 5% d’hommes. Depuis des années des hommes démentent et dénoncent ces chiffres, en citant entre autre les enquêtes très fouillées faites au Canada.
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Bertrand Cantat, la rédemption et les féministes
Le chanteur de Noir Désir est remonté sur scène hier samedi à Bègles. Son retour annoncé a été longuement ovationné. La sécurité avait été renforcée. Son retour ne fait pas l’unanimité. Des féministes en particulier estiment qu’il n’a pas payé assez et qu’il devrait se taire, même sa dette payée. Mais la prestation de Cantat ne vaut pas cette indignation opportuniste.
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Désexuer les politiques de lutte contre les violences
Ce matin je cède la plume au Groupe d’Etudes sur les Sexisme (http://g-e-s.over-blog.com/) pour la publication de son manifeste et et de sa pétition. La récente loi sur la protection des victimes de violence conjugale en France le dit clairement: on veut protéger les femmes contre les hommes. Rien, pas un mot sur les hommes victimes alors même que les indicateurs avancent des chiffres élevés d’hommes subissant la violence physique et/ou psychologique. La lutte contre la violence dans la famille est donc clairement orientée et biaisée, et les organisations féministes reçoivent des subventions par millions alors que les groupes d’aide aux hommes sont laissés dans l’ombre. Voici le texte du manifeste. La pétition en ligne concerne la France mais elle peut être signée par tout le monde, français-e ou autre.
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Violence conjugale: le divorce entre perception et réalité
Quel est le pourcentage de femmes violentées dans leur couple? Et le pourcentage d’hommes? Ces questions ont été posées dans un micro-trottoir au Québec. Les réponses montrent que le public a une perception déformée et totalement disproportionnée du sujet.